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Études

Publié le 10 mai 2005Lecture 1 min

EPHESUS : efficacité de l'éplérénone chez les patients en classe KILLIP II et III en postinfarctus

J. CHAPSAL, Paris

ACC

L’équipe de B. Pitt a fait une analyse post hoc de l’étude chez les patients en classe KILLIP II ou III.

Inclusion Dans cette étude, les patients ayant une fraction d’éjection < 40 %, avec une symptomatologie clinique d’insuffisance cardiaque furent randomisés 3 à 14 jours après l’infarctus pour recevoir soit de l’éplérénone (n = 33,19) soit un placebo (n = 33,13). Les patients recevant par ailleurs une thérapeutique standard. Le suivi a été de 2,5 ans.   Résultats Au total, 64,6 % des patients étaient en classe KILLIP II et 16,5 % en classe KILLIP III. Chez ces patients, l’éplérénone a réduit le risque de mortalité toutes causes de 19 % (p =0,002), la mortalité cardio-vasculaire de 20 %, les hospitalisations cardio-vasculaires de 9 %, le critère combiné de mortalité cardio-vasculaire et d’hospitalisations cardio-vasculaires de 14 % et la mort subite de 26 %. Ainsi, l’éplérénone réduit le risque de survenue de tous les critères des patients inclus dans le postinfarctus et en classe KILLIP II ou III à l’admission.    

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