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Publié le 28 fév 2013Lecture 1 min

Les bénéfices observés dans les études sur les défibrillateurs sont-ils transposables à la population générale ?

L. FAUCHIER, service de cardiologie, Hôpital Trousseau, Tours

La population générale est réputée plus âgée, plus malade et moins bien prise en charge. Les patients d’un registre national, implantés en prévention primaire de la mort subite avec les critères des études MADIT-2 et SCD-HEFT, ont été suivis pendant 3 ans. Les patients de la vraie vie étaient plus âgés et avaient plus de co-morbidités que ceux des essais cliniques. 

Après ajustement, il n’y avait pas de différence de survie entre les patients de la vraie vie et ceux des essais cliniques (figures 1 et 2). Une analyse controversée du même registre avait retrouvé un taux d’implantation hors indication de 23 % sur plus de 100 000 patients appareillés. L’implantation d’un défibrillateur améliore donc la survie quand les patients sont traités dans le cadre des recommandations, avec un bénéfice observé similaire au bénéfice attendu.    Al-Khatib SM et al. JAMA 2013 ; 309 : 55-62. 

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