Le travail de nuit, en perturbant les rythmes biologique et sociétal, augmente le risque coronarien
Vetter et coll. ont analysé, au long d’un suivi de 24 ans (n = 121 701), les manifestations pathologiques liées aux coronaropathies, en s’attachant à apprécier l’évolution du risque après arrêt du travail de...