Publié le 16 aoû 2016
Le travail de nuit, en perturbant les rythmes biologique et sociétal, augmente le risque coronarien
Vetter et coll. ont analysé, au long d’un suivi de 24 ans (n = 121 701), les manifestations pathologiques liées aux coronaropathies, en s’attachant à apprécier l’évolution du risque après arrêt du travail de nuit et en prenant en compte des comorbidités telles que diabète, hypertension ou...
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