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J'ai lu pour vous

Publié le 30 nov 2013Lecture 1 min

Utilisation du propofol en interventionnel ou urgence

C. BARNAY, service de cardiologie et des maladies vasculaires, Centre Hospitalier du Pays d'Aix, Aix-en-Provence

Une équipe allemande rapporte son expérience de l’utilisation du propofol associé au midazolam et au piritramide (opioïde) comme sédation profonde au cours de l’ablation de FA chez 401 patients consécutifs répartis en 3 groupes : < 50 ans (Groupe A : 73 pts), 51 à 74 (Groupe B : 275 pts) et > 74 ans (Groupe C : 53 pts). ECG, SaO2, pression artérielle, gaz du sang et événements indésirables étaient monitorés.

On note dans le groupe C une chute tensionnelle plus marquée mais sans hypotension prolongée, ainsi que d’autres événements indésirables (infection, délirium, insuffisance rénale) significativement plus fréquents, tous traités avec succès. Les complications liées à la sédation n’étaient pas plus fréquentes dans le groupe des patients les plus âgés. Une étude britannique concernant des patients anesthésiés en service d’urgences sur 1 008 patients consécutifs retrouve un taux d’incidents faible, dont 5 cas d’hypoxie et 6 d’hypotension. Les auteurs concluent à la sécurité du produit mais recommandent chez les sujets âgés une dose réduite de 0,5 mg/kg. Newstead B et al. Br J Anaesth 2013 ; 111 (4) : 651-5.

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