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Éditorial

Publié le 01 mar 2014Lecture 1 min

« L’expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs » Oscar Wilde

R. CADOR et P. DURAND, Hôpital Saint Joseph, Paris

Dans ce premier numéro de l’année 2014, nous avons souhaité remettre en cause certaines de nos pratiques.

La chirurgie cardiaque sur site est-elle nécessaire pour l’activité de TAVI ? La question mérite d’être posée si l’on se souvient des débuts de l’angioplastie coronaire et du stand by chirurgical imposé à l’époque… Le kissing balloon final qui s’est imposé au fil des ans dans l’angioplastie des lésions de bifurcation est-il véritablement utile ? Quant à la thromboaspiration, faut-il l’abandonner alors qu’elle s’était largement imposée dans le traitement du SCA ST+ ? Loin des polémiques, la réalisation d’un pontage vasculaire par voie strictement percutanée nous fait passer du rêve à la réalité. Repousser sans cesse nos limites dans l’intérêt des patients est certainement l’une de nos premières motivations.   Bonne lecture R. CADOR et P. DURAND, Hôpital Saint Joseph, Paris

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