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Lu pour vous

Publié le 15 déc 2018Lecture 1 min

La minute de l’interniste

Jimmy DAVAINE, CHU Pitié-Salpêtrière, Paris

Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) a des critères diagnostiques et thérapeutiques bien établis associant une thrombose à la présence d’un taux élevé d’un anticorps antiphospholipides (aCL: Ac anticardiolipine; LA: ACC de type lupique; aB2GP1: Ac anti-béta2 glycoprotéine). Sa forme artérielle doit être évoquée par le chirurgien afin d’éviter des situations catastrophiques pour ces patients. Cette équipe reprend leur cohorte de 800 patients (2007- 2016).

Résultats et messages 14 patients (âge moyen 35 ans ; 79 % femmes) ont été opérés sur des localisations diverses (aorte, membres inférieurs, artères digestives). Ces patients sont jeunes mais pour en arriver au stade de la chirurgie vasculaire, ils ont également un lourd terrain vasculaire. La prise en charge des facteurs de risque cardiovasculaire chez ces patients doit donc être drastique. Un traitement antithrombotique périopératoire optimal (AAP ± AVK avec relais par héparine) est indispensable. Le message supplémentaire : avis de médecine interne obligatoire et pas d’AOD (que des AVK) chez ces patients ! Hinojosa CA et al. Vasc Endovascular Surg 2017 ; 51 (8) : 550-4.

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