Publié le 01 mar 2014Lecture 1 min
En fait-on trop ou pas assez ?
A. LAZARUS
Des arythmies atriales sont fréquemment retrouvées dans les mémoires des prothèses rythmiques, majoritairement asymptomatiques, générant la même interrogation récurrente : à partir de quelle durée ou de quelle charge de fibrillation auriculaire faut-il envisager la mise en route d’un traitement antithrombotique ?
De même, malgré des études cliniques positives, des cardiologues s’interrogent sur le bénéfice de la défibrillation implantable en prévention primaire, le faible nombre d’événements rythmiques lors du suivi semant le doute sur le bien-fondé des implantations dans ce cadre. Au final, en fait-on trop ou pas assez ? Vous trouverez dans ce numéro des éléments de réponse.
Bonne lecture !
A. LAZARUS
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