Publié le 16 mar 2018Lecture 1 min
Évaluer et réévaluer les risques
Arnaud LAZARUS, CMC Ambroise Paré, Neuilly-sur-Seine
Excès de prudence, peur de l'inconnu, application de règles obsolètes dans un environnement qui a changé. Pour nombre de raisons les porteurs de prothèses rythmiques reçoivent une liste de précautions à suivre ou de contre-indications, souvent hétérogène suivant les centres et les praticiens, et pas toujours actualisée.
Ainsi l'IRM, autrefois danger mortel, ne fait plus aussi peur. Si la disponibilité de systèmes IRM compatibles nous rassure tous, il apparaît que des examens IRM sont réalisables sur des matériels non IRM compatibles, avec un faible niveau de risque, au prix d'une organisation stricte et du respect de certaines conditions.
Que dire alors de l'association de générateurs et sondes IRM compatibles, mais de marques différentes, ne constituant pas un « système » IRM compatible ? Il n'est pas déraisonnable de penser que l'IRM présente dans ces cas un faible risque, sous réserve de prendre en compte les conditions IRM les plus restrictives de chacun des éléments du système implanté.
Bonne lecture.
A. LAZARUS
Rédacteur en chef
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