

La prévention primaire a pris le pas sur la prévention secondaire, les patients sont mieux traités et les rythmologues ont appris à modifier leurs pratiques à l’aune des études récentes : on tâche de ne pas dégainer trop vite afin d’éviter des thérapies appropriées mais inutiles, sur des arythmies, par ailleurs, moins fréquentes.
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