

La population générale est réputée plus âgée, plus malade et moins bien prise en charge. Les patients d’un registre national, implantés en prévention primaire de la mort subite avec les critères des études MADIT-2 et SCD-HEFT, ont été suivis pendant 3 ans. Les patients de la vraie vie étaient plus âgés et avaient plus de co-morbidités que ceux des essais cliniques.
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