Proposer aux patients la thérapie la mieux adaptée à leur état de santé est notre rôle de soignant. Pourtant ces choix que nous faisons quotidiennement ne se font pas toujours sans douter. C’est le cas lors de la primo-implantation d’un stimulateur cardiaque, en particulier en cas de bloc auriculo-ventriculaire permanent. Avec un appareillage conventionnel, certains vont en effet développer après l’implantation une dysfonction ventriculaire symptomatique induite par la stimulation. Peut-on identifier ces patients à risque ? Faut-il d’emblée implanter un resynchronisateur ou bien implanter un stimulateur conventionnel en choisissant un site de stimulation ventriculaire droit alternatif ? Les interrogations persistent mais vous trouverez néanmoins quelques pistes dans ce numéro.
Bonne lecture,
A. LAZARUS
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